Tous ces arbres arrachés par la tempête, c'était triste, c'était comme toutes ces femmes qui ne vont pas.
mardi 13 janvier 2009
N., merci pour hier et aujourd'hui.
J'espère que tu rejoueras du piano, c'était vraiment magnifique ce sont grave et désaccordé comme une boîte à musique. J'aimerais passer des heures à t'écouter jouer dans ce couloir sombre et désertique.
Je me rend compte qu'il y a un corps dans mon corps.