dimanche 25 décembre 2011
Une histoire de.
Est-ce que te vouloir c'est vouloir la facilitée ?
Est-ce que la facilitée est bénéfique ?
Est-ce que la facilitée présage l'ennui ?
vendredi 23 décembre 2011
AP
Des larmes de frustrations coulent pendant que je crache mon énervement.
J'ai honte, je te déteste, je te méprise tant parfois...
J'ai honte, je te déteste, je te méprise tant parfois...
lundi 19 décembre 2011
dimanche 11 décembre 2011
Modèle vivant
Vendredi soir je refusais de me mettre à nue devant leurs yeux et samedi je me mis à nue devant les tiens. Dès que je le pouvais je regardais le crayon courir sur ta feuille et mes traits qui apparaissent dessus. Nous discutions peu. Je fixais ton mur de bois, les tâches prenaient vie, à force de les fixer j'y voyais un bal animalier, parfois tout vibrais et je clignais des yeux pour chasser les visions psychédéliques que je commençait à y voir. Mon genou me faisait mal mais j'essayai de tenir, je commençai à tanguer, j'avais des bouffés de chaleurs, des picotement dans le ventre, j'avais peur de voir des étoiles et je commençais à avoir la nausée, à ce moment là je t'ai dis que je devais vraiment m'arrêter, ça faisait 40 min. J'ai plié mon genou avec un cri de soulagement mêlé à la douleur et je me suis assise en boule pour chasser la nausée. Tu m'as tendu ma robe et nous avons parlé du dessin.
mercredi 7 décembre 2011
jeudi 1 décembre 2011
Speak
"Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement - Et les mots pour le dire arrivent aisément."
L'Art poétique (1674)
Citations de Nicolas Boileau-Despréaux
L'Art poétique (1674)
Citations de Nicolas Boileau-Despréaux
mercredi 30 novembre 2011
Digression
A toi je peux tout dire. Même ce dont je ne voulais pas vraiment parler. J'ai l'impression que la vie commence à 27/30 ans. Il me reste 8 ans. La nuit quand je remonte le cour je baisse les yeux, fais la tête et marche d'un pas pressé, on me dit des "bonsoirs", on me parle et je continue de marcher. Je te décris tout, le ridicule, le mal-être, le rejet. Je pense à ces gens que je séduis. Je suis comme un paon, je m'étale le moment venue, ait l'air incroyable mais au fond je suis inutile, improductive. Je sais quel est le problème mais je n'y renonce pas, pourquoi ? Qu'est-ce que j'attends ? Je me trouve tout le temps de nouvelles excuses, de nouvelles raisons de me dérober, pourquoi suis-je si bête ?
Tout devrait s'articuler et ce serait tellement plus simple.
Tout devrait s'articuler et ce serait tellement plus simple.
jeudi 24 novembre 2011
2h13
Je pourrais tomber amoureuse de toi. Ou folle d'une amitié passionnée.
Je ne sais pas trop. Je sais juste que pour toi c'est possible. Et que pour toi ce ne l'est pas.
Je ne sais pas trop. Je sais juste que pour toi c'est possible. Et que pour toi ce ne l'est pas.
mardi 15 novembre 2011
Je t'embrasse.
Je n'arrive pas à oublier tes mots. Le choc. Une syncope intellectuelle avant les larmes.
Je t'embrasse. Te serre fort dans mes bras.
Je tiens à toi. Je pense à toi.
Je tiens à toi. Je pense à toi.
Courage.
samedi 12 novembre 2011
vendredi 11 novembre 2011
lundi 7 novembre 2011
Touspareils
Je vois des bouts de toi partout et je me rends compte à quel point tu es commun, à quel point tu ne devais ton côté unique que grâce à mon regard.
Pathétique.
Pathétique.
samedi 1 octobre 2011
Try
J'essaie de dessiner mon rêve et je n'y arrive pas.
Tenir le crayon, c'est quelque chose que je n'avais pas fais depuis longtemps, je dois tout réapprendre.
Je ne veux pas oublier, la maison, le sang, le père, la mère,...
Un film, c'est ce que je voudrais en faire.
Tenir le crayon, c'est quelque chose que je n'avais pas fais depuis longtemps, je dois tout réapprendre.
Je ne veux pas oublier, la maison, le sang, le père, la mère,...
Un film, c'est ce que je voudrais en faire.
vendredi 30 septembre 2011
Anaïs Nin
Docteur Allendy :
" Vous ne vous confiez pas vraiment à beaucoup de gens,
ils ne vous connaissent donc pas, et vous en concluez hâtivement qu'ils ne vous
comprennent ni ne vous aiment. Aux rares êtres à qui vous vous sentez liée,
vous prodiguez une adoration sans bornes. Il faut que cela cesse. En amour,
aussi, il faut renoncer pour aimer vraiment. Vous n'admettez pas de rivalité.
Plus votre amour est vaste, sans exclusives, plus vous approchez de l'unité
mystique, du sens plus large de l'amour, l'amour moins individualiste, plus
universel."
"Henry me raconte comment toutes ses discussions avec June tournaient en combats
acharnés. June devenait tellement blessante et Henry se désespérait, devenait
irrationnel, mais il se rend compte maintenant que ces superbes batailles
étaient stériles, décevantes, puériles, qu'il en sortait brisé, incapable de
vivre ou de travailler. Elle avait le génie de tout saboter, de tout
embrouiller, de tout faire avorter, d'une manière aveugle, instinctive."
lundi 26 septembre 2011
Pour oublier je.. (?)
Je déteste ma faiblesse, mon irrépressible besoin d'écrire. D'écrire mal.
Rien n'a changé, j'ai beau être plus loin, mes pensées sont toujours les mêmes, je tourne en boucle sur le vide.
J'ai honte d'écrire encore.
Ressasser ne sers à rien, surtout pas à oublier car j'écrirai sa présence.
jeudi 22 septembre 2011
Extrait
"Si j'écris c'est parce que j'en ai besoin, c'est très rare que j'écris quand je vais bien, tout simplement parce que je n'ai rien à extérioriser. Un jour je me remettrai peut-être à écrire de la fiction, ça me fera un peu sortir de mon nombril - en partie-.
En dehors de l'écriture j'ai la photographie, qui parle de moi bien mieux que mes mots le plus souvent. Après j'aime toucher aux autres formes d'art mais c'est moins régulier et moins mon "truc".
J'aime la Nuit, pour son côté intimiste, comme les lacs, j'adore les lacs, l'eau calme et sombre qui t'enveloppe, la douce caresse de celle-ci sur la peau. Il y a un rapport
amoureux je trouve dans les lacs, une sorte de cocon de volupté, quelque chose de très féminin aussi.
Le mieux c'est d'y pénétrer la nuit, presque nue (ou nue), seule... Je voudrais passer des vacances à côté d'un lac pour en profiter la nuit.
Et puis je rêve de faire des photos avec un lac !
Chez mes parents, j'ai la mer, je ne l'aime pas trop, oh de temps en temps c'est drôle mais sinon je ne me baigne presque jamais.
J'aime rêver -surtout la nuit-, en regardant le paysage dehors, mais... J'ai de plus en plus de mal en ce moment à rêver. Drôle à dire mais avant je m'inventais des histoires qui auraient pu se passer ou qui pourraient se passer (voir totalement improbable) avec les gens de mon entourage. Et, depuis que Loup/N. m'a quitté je n'arrive plus à me raconter des histoires. Je finis toujours par repenser à lui et à m'énerver contre lui dans mon imaginaire, à m'imaginer comment ça aurait pu se passer "si"... C'est assez fatiguant, il perturbe mes rêves et je n'arrive plus à tenir très longtemps sans connecter avec de la frustration. Alors en ce moment je ne rêve plus vraiment. Avec le temps tout passe, c'est ce que je me dis depuis tant de mois et je ne perds pas espoir, c'est déjà ça.
Je me sens incomplète.
Parce que je suis, au fond, une grosse flemmarde et que j'ai l'impression que je n'utilise pas la moitié de mes capacités. Et ça me frustre alors que c'est de ma faute.
J'ai l'impression de stagner. Et je n'aime pas ça et en même temps je résiste à bouger. C'est le fameux paradoxe de ceux qui voudraient plus qu'ils n'ont le courage de faire. Une façon d'être malheureux et d'aimer son malheur j'imagine.
J'ai retrouvé un ami il y a peu, on s'était fâché, enfin, c'était de ma faute. C'est fou de constater à quel point nous n'avons pas changé. Notre amitié reprends son cours comme s'il n'y avait pas eu 1 an de pause.
C'est ça la vraie amitié ?
J'ai d'autres amis qui me manquent aussi, qui vivent loin de moi, tu sais ce genre d'amis auprès desquels tu te sens ressourcé rien que par leurs présences...
Le genre d'ami que quand tu as le moral à plat, il te suffit d'écouter la musique sur laquelle tu as dansé avec eux et tu souris, ris même toute seule dans le bus.
J'ai envie de les serrer très fort dans mes bras.
Je me sens seule sans vouloir de quelqu'un dans ma vie, quelqu'un de fixe et stable.
Je m'ennuie terriblement avec moi-même.
Moi aussi tu sais je suis trop franche en général, on me déteste souvent pour ça, même si j'ai évité à la personne de dépenser 100 euros dans une arnaque, elle va m'en vouloir parce que je lui aurais dis de manière trop crue. C'est assez "drôle" en quelque sorte.
Ou pas."
mardi 13 septembre 2011
Fast.
C'est fou tout ce qui arrive en une matinée :
- Une queue infernale pour les UE, mais je suis la 45/80 en art plastique (l'anthropologie ce sera l'année prochaine).
- Être dans le tram contre lequel une jeune fille s'est explosé la tête contre la vitre conducteur. Ne pas voir de sang, juste son corps face à terre qui ne bouge pas, mon âge.
Regarder l'impact sur la vitre fissurée...
Espérer pour elle qu'il n'y aura pas de graves lésions.
- Devoir monter 12 étages par l'escalier presque dans le noir, voir parfois dans le noir total avec mes sacs de courses pour cause de "coupure d'électricité"
Et songer qu'il va falloir les redescendre et les remonter une deuxième fois.
- Une queue infernale pour les UE, mais je suis la 45/80 en art plastique (l'anthropologie ce sera l'année prochaine).
- Être dans le tram contre lequel une jeune fille s'est explosé la tête contre la vitre conducteur. Ne pas voir de sang, juste son corps face à terre qui ne bouge pas, mon âge.
Regarder l'impact sur la vitre fissurée...
Espérer pour elle qu'il n'y aura pas de graves lésions.
- Devoir monter 12 étages par l'escalier presque dans le noir, voir parfois dans le noir total avec mes sacs de courses pour cause de "coupure d'électricité"
Et songer qu'il va falloir les redescendre et les remonter une deuxième fois.
lundi 12 septembre 2011
jeudi 8 septembre 2011
M. CT
Pour la première fois j'évoquais tous mes pourquoi.
Je pleurai.
Ton corps à mes côtés, tu ne disais rien, ne faisant que me prendre dans tes bras.
Merci.
Je pleurai.
Ton corps à mes côtés, tu ne disais rien, ne faisant que me prendre dans tes bras.
Merci.
dimanche 4 septembre 2011
Fuck off
Je me sens devenir folle.
Hier j'ai rêvé que je tombais, j'ai sursauté si fort que le chat a sursauté avec moi.
C'est ainsi que je me sens : en chute libre.
J'ai des accents de désespoir infinis qui me tombent dessus périodiquement. Je deviens physiquement instable.
J'ai l'impression de ne trouver du réconfort nulle part.
Et s'il avait raison ? Si ce n'était pas finit ?
Cette question est celle que je me pose depuis si longtemps et je suis toujours incapable d'y répondre.
Je ne sais pas si je pourrais avoir le courage de chercher une réponse claire, j'ai l'impression que je l'ai enfouie au fin fond de ma poitrine, là où je sens le poids de la tristesse m'envahir.
Je n'ose plus parler car à chaque fois on me fait taire.
Et j'ai honte d'avoir besoin d'en parler.
Je veux me taire et crier à la fois, je veux oublier et savoir en même temps.
J'ai bon espoir de me dire que l'impasse se terminera avec le début de la fac, mais à l'heure actuelle ça me prends la tête et me bloque. Je me sens inefficace.
---
Et sans m'aider vous me prenez la tête avec vos égos.
Hier j'ai rêvé que je tombais, j'ai sursauté si fort que le chat a sursauté avec moi.
C'est ainsi que je me sens : en chute libre.
J'ai des accents de désespoir infinis qui me tombent dessus périodiquement. Je deviens physiquement instable.
J'ai l'impression de ne trouver du réconfort nulle part.
Et s'il avait raison ? Si ce n'était pas finit ?
Cette question est celle que je me pose depuis si longtemps et je suis toujours incapable d'y répondre.
Je ne sais pas si je pourrais avoir le courage de chercher une réponse claire, j'ai l'impression que je l'ai enfouie au fin fond de ma poitrine, là où je sens le poids de la tristesse m'envahir.
Je n'ose plus parler car à chaque fois on me fait taire.
Et j'ai honte d'avoir besoin d'en parler.
Je veux me taire et crier à la fois, je veux oublier et savoir en même temps.
J'ai bon espoir de me dire que l'impasse se terminera avec le début de la fac, mais à l'heure actuelle ça me prends la tête et me bloque. Je me sens inefficace.
---
Et sans m'aider vous me prenez la tête avec vos égos.
samedi 3 septembre 2011
lundi 29 août 2011
Journée d'été
les pages des livres vont recommencer à tourner,
mes journées et mes nuits reprendront un rythme plus naturel,
les imprévus se feront plus sages,
tout comme les plaisirs de la chair plus rares.
Je n'oublierais pas le costume et la plage.
dimanche 28 août 2011
Je rêve de plus en plus de toi.
Chaque rêve est différent, parfois je te regarde comme un insecte que l'on étudie, parfois je vois une réalité que j'imagine, parfois je te vois menaçant, parfois tu te montres câlin.
Peut-être mes rêves font-ils le bilan de ce que tu es avant de te faire disparaître.
------
J'ai une certaine tendance à regretter mais lorsque je pèse le pour et le contre de ce que j'ai vécu, bien souvent je me rends compte que le négatif varie suivant l'angle dans lequel je regarde le souvenir.
Et puis je ne saurais jamais comment c'était autrement.
Au final, je ne regrette rien.
Chaque rêve est différent, parfois je te regarde comme un insecte que l'on étudie, parfois je vois une réalité que j'imagine, parfois je te vois menaçant, parfois tu te montres câlin.
Peut-être mes rêves font-ils le bilan de ce que tu es avant de te faire disparaître.
------
J'ai une certaine tendance à regretter mais lorsque je pèse le pour et le contre de ce que j'ai vécu, bien souvent je me rends compte que le négatif varie suivant l'angle dans lequel je regarde le souvenir.
Et puis je ne saurais jamais comment c'était autrement.
Au final, je ne regrette rien.
vendredi 19 août 2011
mardi 16 août 2011
lundi 15 août 2011
dimanche 14 août 2011
Dansez !
J'ai mis un pansement sur la brûlure de cigarette.
Rencontre de M., danser jusqu'à en avoir un point de côté, marcher pieds nus dans la rue, se baigner dans la piscine gelée à 3h et quelque du matin, manger un américain avec M., revoir D. et L., parler avec C pour la première fois, le coup de la pastèque et du bébé-charriot, le problème de douche et la bassine, boire et rester sobre, prendre une cigarette, ou plus, embrasser (...), pleurer en coupant les échalotes, tomber à terre avec L. et D. et y rester prit d'un fou rire, dormir avec D. attendre le train, longtemps, s'endormir et rater la gare de Bayonne, descendre à Biarritz.
Ne citons que les bons côtés.
Rencontre de M., danser jusqu'à en avoir un point de côté, marcher pieds nus dans la rue, se baigner dans la piscine gelée à 3h et quelque du matin, manger un américain avec M., revoir D. et L., parler avec C pour la première fois, le coup de la pastèque et du bébé-charriot, le problème de douche et la bassine, boire et rester sobre, prendre une cigarette, ou plus, embrasser (...), pleurer en coupant les échalotes, tomber à terre avec L. et D. et y rester prit d'un fou rire, dormir avec D. attendre le train, longtemps, s'endormir et rater la gare de Bayonne, descendre à Biarritz.
Ne citons que les bons côtés.
lundi 8 août 2011
Pêle-mêle
-La moto ne me fait plus d'effet, je m'y sens tellement à l'aise maintenant que la vitesse m'indiffère.
C'est dommage.
-Le soir je n'arrive pas à m'endormir et le matin je n'arrive pas à me lever.
-J'ai hâte de commencer la fac. D'avoir mon appart que ce-soit seule ou à plusieurs.
- Je cherche déjà comment revoir P., parce que peu importe les km, je reste !
- Je devrais me poser mais je n'y arrive pas.
- Je voudrais refaire de belles photos
C'est dommage.
-Le soir je n'arrive pas à m'endormir et le matin je n'arrive pas à me lever.
-J'ai hâte de commencer la fac. D'avoir mon appart que ce-soit seule ou à plusieurs.
- Je cherche déjà comment revoir P., parce que peu importe les km, je reste !
- Je devrais me poser mais je n'y arrive pas.
- Je voudrais refaire de belles photos
dimanche 7 août 2011
samedi 6 août 2011
Ma chambre ne ressemble plus à rien, j'ouvre des valises et commence des cartons que je remplie doucement.
Je récupère de la vaisselle dont on ne se sert pas ici, des livres qu'on ne liras plus.
J'ai commencé L'insoutenable légèreté de l'être, entre deux cartons.
Je ne sais pas encore où je vais, et j'ai un peu peur de ce nulle part car j'ai tout un monde à replier.
Je bois en plantant des couteaux dans son dos.
J'ai Nazar, le mauvais oeil autour du cou.
Je récupère de la vaisselle dont on ne se sert pas ici, des livres qu'on ne liras plus.
J'ai commencé L'insoutenable légèreté de l'être, entre deux cartons.
Je ne sais pas encore où je vais, et j'ai un peu peur de ce nulle part car j'ai tout un monde à replier.
Je bois en plantant des couteaux dans son dos.
J'ai Nazar, le mauvais oeil autour du cou.
dimanche 31 juillet 2011
Au clair de lune j'ai senti ton coeur,
comme la vibration d'un archet.
Au pâle clair de lune,
Tu me contemples.
Nul ne connait ton coeur.
Au pâle clair de lune,
Tu me contemples.
Nul ne connait ton coeur.
(Au coucher du soleil
Je te vois belle et obsédante,
Froide cependant...
Pareille à la lame d'un couteau.
Si acérée, si douce,
Nul ne connait ton coeur.
Ta tristesse, ton chagrin et ta douleur tout entiers,
Contenus dans les forêts de la nuit.)
Ton visage de profil
Est aussi magnifique
Que la lame tranchante
Je te vois belle et obsédante,
Froide cependant...
Pareille à la lame d'un couteau.
Si acérée, si douce,
Nul ne connait ton coeur.
Ta tristesse, ton chagrin et ta douleur tout entiers,
Contenus dans les forêts de la nuit.)
Ton visage de profil
Est aussi magnifique
Que la lame tranchante
D'une épée
La haine est la collère dans ton coeur
Son les êtres de la forêt
Ton coeur secret appartient au monde
Des créatures qui soupirent dans l'obscurite,
La haine est la collère dans ton coeur
Son les êtres de la forêt
Ton coeur secret appartient au monde
Des créatures qui soupirent dans l'obscurite,
Des créatures qui pleurent dans l'obscurite.
jeudi 14 juillet 2011
A mon amie
Ma jolie, du fais de mon absence je ne suis pas sûre de pouvoir te souhaiter ton anniversaire à temps alors je triche.
J'espère que tu seras heureuse, je te souhaite de l'être.
Joyeux anniversaire ma jolie,
Je t'aime si fort
J'espère que tu seras heureuse, je te souhaite de l'être.
Joyeux anniversaire ma jolie,
Je t'aime si fort
dimanche 10 juillet 2011
J'ai tant rêvé de toi
À la mystérieuse (1926)
J'ai tant rêvé de toi
J'ai tant rêvé de toi
J'ai tant rêvé de toi
que tu perds ta réalité.
Est-il encore temps d'atteindre
ce corps vivant et de baiser
sur cette bouche la naissance de la voix qui m'est chère?
J'ai tant rêvé de toi
que mes bras habitués en étreignant ton ombre
à se croiser
sur ma poitrine
ne se plieraient pas au contour de ton corps, peut-être.
Et que,
devant l'apparence réelle de ce qui me hante et
me gouverne depuis des jours et
des années,
je deviendrais une ombre sans doute.
O balances sentimentales.
J'ai tant rêvé de toi
qu'il n'est plus temps sans doute que je m'éveille.
Je dors
debout, le corps exposé à toutes les apparences de la vie
et de l'amour et toi,
la seule qui compte aujourd'hui pour moi,
je pourrais moins toucher ton front et
tes lèvres
que les premières lèvres et le premier front venu.
J'ai tant rêvé de toi,
tant marché, parlé, couché avec ton fantôme
qu'il ne me reste plus peut-être,
et pourtant,
qu'à être fantôme parmi les fantômes et
plus ombre cent fois que
l'ombre qui se promène et
se promènera allégrement sur le cadran solaire de ta vie.
Robert Desnos (1900 - 1945)
mardi 28 juin 2011
lundi 27 juin 2011
La petite mort
Combien de fois vais-je devoir subir la petite mort pour qu'enfin cette histoire ne devienne plus que cendres qui s'échappent au vent ?
Je marche sur des charbons ardents.
J'admire ta cruauté, chaque moment que tu peux me voler tu me le prends.
Parfois je me demande si je ne fabule pas tellement tout ceci me semble gros, j'ai beau chercher mais j'en reviens toujours à la même conclusion : même si je n'ai peut-être pas tout compris du fond de ton âme,
les actes et les paroles sont là.
Et ton verbe comme tes actes sont indéfendables.
*
asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole asshole
asshole asshole asshole asshole asshole
*
samedi 25 juin 2011
mercredi 22 juin 2011
The RIP
J'ai hâte d'en finir.
La Naissance des Pieuvres ne me sauveras pas, les tentacules de couleurs m'enserrent et me font étouffer.
Ma pensée me transperce, je suis mon propre poison, mon propre ennemi. Je suis ma propre douleur.
On ne peut ressentir que grâce à son cerveau après tout.
Je ne sais pas si je suis faible ou forte, ça dépend d'où je regarde, mais je me bats avec moi-même, avec mes souvenirs. Les souvenirs tentaculaires qui me déconnectent de la réalité, qui me font vivre à travers un voile. Je voudrais les arracher, les découper mais je n'ai pas réellement d'endroit où aller. J'ai beau avancer, toujours me relever même la jambe ensanglantée, continuer à me servir de mon poignet alors qu'il craque au moindre de mes mouvements, je ne produit rien de constructif. Je me sens noyée dans mon propre corps.
Les jours passent et c'est comme si j'étais sous l'eau. Je ne ressens même pas l'angoisse des épreuves. Je veux juste que ce-soit terminé quel qu'en soit la fin..., la fin m'indiffère. C'est comme si mon angoisse était inconsciente et que parfois elle filtrait à travers mon corps et que je ne pouvais que la subir.
Le temps passe sans que j'ai à l'attendre.
"Alors comme ça tu n'es pas si intouchable que cela "", "Tu as un vrai coeur de pierre ", c'est ce qu'ils m'ont dit... mais savent-ils un instant ce qu'il y a dans mon coeur ? Pourquoi les laisserais-je regarder ? C'est une chose que je garde jalousement pour moi sous cette pierre, ce côté intouchable. Je ne dis jamais ce que je ressens réellement.
Quand celui-ci n'est pas endormi dans un quotidien sans surprise, exécutant mécaniquement les choses, mon coeur se souvient et invente. Il invente des choses qui ne se sont jamais passé avec des personnes réelles.
Et souvent il est violent.
Au final il n'y a que moi qui me laisse atteindre, qui me laisse souffrir.
Je suis ma propre source de peine.
La Naissance des Pieuvres ne me sauveras pas, les tentacules de couleurs m'enserrent et me font étouffer.
Ma pensée me transperce, je suis mon propre poison, mon propre ennemi. Je suis ma propre douleur.
On ne peut ressentir que grâce à son cerveau après tout.
Je ne sais pas si je suis faible ou forte, ça dépend d'où je regarde, mais je me bats avec moi-même, avec mes souvenirs. Les souvenirs tentaculaires qui me déconnectent de la réalité, qui me font vivre à travers un voile. Je voudrais les arracher, les découper mais je n'ai pas réellement d'endroit où aller. J'ai beau avancer, toujours me relever même la jambe ensanglantée, continuer à me servir de mon poignet alors qu'il craque au moindre de mes mouvements, je ne produit rien de constructif. Je me sens noyée dans mon propre corps.
Les jours passent et c'est comme si j'étais sous l'eau. Je ne ressens même pas l'angoisse des épreuves. Je veux juste que ce-soit terminé quel qu'en soit la fin..., la fin m'indiffère. C'est comme si mon angoisse était inconsciente et que parfois elle filtrait à travers mon corps et que je ne pouvais que la subir.
Le temps passe sans que j'ai à l'attendre.
"Alors comme ça tu n'es pas si intouchable que cela "", "Tu as un vrai coeur de pierre ", c'est ce qu'ils m'ont dit... mais savent-ils un instant ce qu'il y a dans mon coeur ? Pourquoi les laisserais-je regarder ? C'est une chose que je garde jalousement pour moi sous cette pierre, ce côté intouchable. Je ne dis jamais ce que je ressens réellement.
Quand celui-ci n'est pas endormi dans un quotidien sans surprise, exécutant mécaniquement les choses, mon coeur se souvient et invente. Il invente des choses qui ne se sont jamais passé avec des personnes réelles.
Et souvent il est violent.
Au final il n'y a que moi qui me laisse atteindre, qui me laisse souffrir.
Je suis ma propre source de peine.
samedi 18 juin 2011
mardi 14 juin 2011
éreintée
Je me réveille fatiguée, lassée, un poids dans la poitrine.
J'ai rêvé de lui cette nuit. Je n'en aurai sûrement pas rêvé s'il s'était tu.
J'étais impuissante comme d'habitude et je n'avais plus qu'à subir son bon vouloir.
J'étais désespérée et je me réveille comme telle.
Je lui en veux de s'être manifesté à moi, je repense d'autant plus à lui maintenant.
Et cela me gêne pendant que j'essaye de réviser.
J'ai envie de pleurer.
J'ai rêvé de lui cette nuit. Je n'en aurai sûrement pas rêvé s'il s'était tu.
J'étais impuissante comme d'habitude et je n'avais plus qu'à subir son bon vouloir.
J'étais désespérée et je me réveille comme telle.
Je lui en veux de s'être manifesté à moi, je repense d'autant plus à lui maintenant.
Et cela me gêne pendant que j'essaye de réviser.
J'ai envie de pleurer.
lundi 13 juin 2011
Shino
Je suis incapable de te faire confiance, tu m'as beaucoup trop trahie.
Je ne peux plus te regarder d'un air accueillant, chacun de tes mots, de tes actes me rends sceptique.
Et je les examines car je n'y crois pas, je ne crois plus en toi depuis que tu m'as prouvé que j'avais tort de te considérer sous un oeil si amical.
Il n'y a plus de vérité car tu l'as trompée.
Je pleure encore la nuit par ta faute et aucune de tes paroles ne soulagera tes actes passé.
Je préfère que tu te taises et que tu me laisses avec ma douleur car ta présence même par écrit me rends d'autant plus malade que tes paroles n'ont aucun sens pour moi.
Je ne crois pas que tu n'ai jamais voulu me rendre malheureuse, tous tes actes passé me prouvent le contraire.
Et trop de larmes ont coulés pour que certaines ne soient pas désirée.
Je ne veux plus que tu parles, tu ne fais que raviver d'autant plus ma douleur.
Je n'ai pas besoin de toi pour guérir, au contraire, j'ai besoin de ton absence.
Plus tu es présent plus tu ravives le feu que j'essaye d'éteindre, désespérément.
Lis ce blog, ne le lis pas, aucune importance, mais tais-toi pour mon bien.
Je ne te pardonnerai jamais d'avoir été le monstre que j'ai voulu croire que tu ne serais pas.
Et personne n'a besoin d'haïr pour faire du mal.
Je ne peux plus te regarder d'un air accueillant, chacun de tes mots, de tes actes me rends sceptique.
Et je les examines car je n'y crois pas, je ne crois plus en toi depuis que tu m'as prouvé que j'avais tort de te considérer sous un oeil si amical.
Il n'y a plus de vérité car tu l'as trompée.
Je pleure encore la nuit par ta faute et aucune de tes paroles ne soulagera tes actes passé.
Je préfère que tu te taises et que tu me laisses avec ma douleur car ta présence même par écrit me rends d'autant plus malade que tes paroles n'ont aucun sens pour moi.
Je ne crois pas que tu n'ai jamais voulu me rendre malheureuse, tous tes actes passé me prouvent le contraire.
Et trop de larmes ont coulés pour que certaines ne soient pas désirée.
Je ne veux plus que tu parles, tu ne fais que raviver d'autant plus ma douleur.
Je n'ai pas besoin de toi pour guérir, au contraire, j'ai besoin de ton absence.
Plus tu es présent plus tu ravives le feu que j'essaye d'éteindre, désespérément.
Lis ce blog, ne le lis pas, aucune importance, mais tais-toi pour mon bien.
Je ne te pardonnerai jamais d'avoir été le monstre que j'ai voulu croire que tu ne serais pas.
Et personne n'a besoin d'haïr pour faire du mal.
dimanche 29 mai 2011
samedi 28 mai 2011
A acheter
"Le livre à lire… pendant mes insomnies, Virginy L.Sam, Editions de l’Hèbe 2007
"le journal d'une femme de chambre", Octave Mirbeau
"Folles nuit", Joyce Carol Oates
"Voleur de cartes", Eduardo Lago
"le journal d'une femme de chambre", Octave Mirbeau
"Folles nuit", Joyce Carol Oates
"Voleur de cartes", Eduardo Lago
dimanche 15 mai 2011
FUCK YOU ANYWAY
There’s a look on your face I would like to knock out
See the sin in your grin and the shape of your mouth
All I want is to see you in terrible pain
Though we won’t ever meet I remember your name
Can’t believe you were once just like anyone else
Then you grew and became like the devil himself
Pray to god I can think of a nice thing to say
But I don’t think I can so fuck you anyway
You are scum, you are scum and I hope that you know
That the cracks in your smile are beginning to show
Now the world needs to see that it’s time you should go
There’s no light in your eyes and your brain is too slow
Can’t believe you were once just like anyone else
Then you grew and became like the devil himself
Pray to god I can think of a nice thing to say
But I don’t think I can, so fuck you anyway
Bet you sleep like a child with your thumb in your mouth
I could creep up beside put a gun in your mouth
Makes me sick when I hear all the shit that you say
So much crap coming out it must take you all day
There’s a space kept in hell with your name on the seat
With a spike in the chair just to make it complete
When you look at yourself do you see what I see
If you do why the fuck are you looking at me
Why the fuck are you looking on me mmmh
Why the fuck are you looking
Why the fuck why the fuck are you looking at me x2
There’s a time for us all and I think yours has been
Can you please hurry up cos I find you obscene
We can’t wait for the day that you’re never around
When that face isn’t here and you rot underground
Can’t believe you were once just like anyone else
Then you grew and became like the devil himself
Pray to god I can think of a nice thing to say
But I don’t think I can so fuck you anyway
So fuck you anyway x11
vendredi 6 mai 2011
Time
Je me retiens d'écrire, de dire.
Ca me prends encore le coeur c'est vrai.
Mais tout passe avec le temps.
Ca me prends encore le coeur c'est vrai.
Mais tout passe avec le temps.
lundi 2 mai 2011
Rouge Marie
M'avait-écrit :
"Ces mots, simples. La belle écriture, un peu comme la mienne, mais en plus mélodieuse. Je suis dans mon lit, maux de ventre fous, lit trempé par la fièvre. Maman arrive, me tend une carte. Je me demande si elle l'a lue. Elle est si belle que n'importe qui aurait envie de la lire. Ce n'est pas la photo qui donne envie, ce sont les mots. Ce n'est pas tant le paysage de cette carte postale que le paysage intérieur qui se dresse au fil de ma lecture. Un film, des images.
Merci."
En 2009 je crois.
"Ces mots, simples. La belle écriture, un peu comme la mienne, mais en plus mélodieuse. Je suis dans mon lit, maux de ventre fous, lit trempé par la fièvre. Maman arrive, me tend une carte. Je me demande si elle l'a lue. Elle est si belle que n'importe qui aurait envie de la lire. Ce n'est pas la photo qui donne envie, ce sont les mots. Ce n'est pas tant le paysage de cette carte postale que le paysage intérieur qui se dresse au fil de ma lecture. Un film, des images.
Merci."
En 2009 je crois.
vendredi 29 avril 2011
vendredi 15 avril 2011
Cheval tu cours comme un fou.
Je ne sais pas si c'est parce que je prends le train demain.
Ou si c'est parce que j'ai revu ce film bidon que j'avais regardé avec ma meilleure amie quand on avais dans les sept ans.
Ou bien si cela est dû à la musique que j'écoute.
Ou si c'est parce qu'une fois la migraine terminée j'ai un regain d'énergie.
Mais je me sens heureuse, et prête à danser toute la nuit.
Prête à me défouler.
Ou si c'est parce que j'ai revu ce film bidon que j'avais regardé avec ma meilleure amie quand on avais dans les sept ans.
Ou bien si cela est dû à la musique que j'écoute.
Ou si c'est parce qu'une fois la migraine terminée j'ai un regain d'énergie.
Mais je me sens heureuse, et prête à danser toute la nuit.
Prête à me défouler.
mercredi 13 avril 2011
dimanche 10 avril 2011
Fuir ton nom comme on s'éloigne de la peste.
Ton nom est une écorchure qui ne guérit pas.
Et ça je ne le tolère pas.
Et ça je ne le tolère pas.
mercredi 6 avril 2011
B.
OK.
I'm so stupid but I like it.
J'ai rencontré un garçon au forum des jobs d'été.
J'ai rencontré un garçon.
Drôle de phrase pour moi, assez inattendue, incongrue dans mon quotidien.
Je voudrais le revoir.
B.
I'm so stupid but I like it.
J'ai rencontré un garçon au forum des jobs d'été.
J'ai rencontré un garçon.
Drôle de phrase pour moi, assez inattendue, incongrue dans mon quotidien.
Je voudrais le revoir.
B.
dimanche 3 avril 2011
mercredi 30 mars 2011
5:15 the angels have gone
Mon seul remède à la solitude est de coller parfois mes lèvres sur d'autres lèvres. De passer ma langue sur des peaux. Et mes mains dans des cheveux.
Je me dis que si je n'avais pas parfois, ces histoires de reins, je n'arriverai pas à être hors de moi et serais trop pleine de tristesse.
dimanche 13 mars 2011
Dans mon agenda j'ai écris pour ce jour "Ca aurait été du gâchis", ça me fait rire à chaque fois.
Oui ça aurait été du gâchis d'être un mois de plus avec toi, d'ailleurs bientôt un moins de moins avec toi.
J'ai beaucoup aimé ma soirée d'hier, j'avais l'impression de vivre une vraie soirée, le genre de soirée que t'espère vivre à chaque fois que tu en fais une.
Ca fait du bien.
Oui ça aurait été du gâchis d'être un mois de plus avec toi, d'ailleurs bientôt un moins de moins avec toi.
J'ai beaucoup aimé ma soirée d'hier, j'avais l'impression de vivre une vraie soirée, le genre de soirée que t'espère vivre à chaque fois que tu en fais une.
Ca fait du bien.
samedi 26 février 2011
La marmotte
Avouons que même si j'ai encore des moments de faiblesse, je suis vraiment bien plus heureuse au quotidien que je ne l'ai été avec toi.
dimanche 20 février 2011
C.
Je me sens coupable.
Avant même que ta présence ne cesse il était revenu m'empoisonner, je ne le voulais pas, tu lui es bien plus préférable. C'est ta peau que je voudrais retrouver maintenant que tu es partit, pas la sienne.
Pourtant, il était là.
Je regrette ton départ car même s'il s'insinuait entre-nous, je pense que c'est toi qui aurait pu le chasser sans même le savoir. Je pense que c'est toi dont j'ai besoin pour changer.
Avant même que ta présence ne cesse il était revenu m'empoisonner, je ne le voulais pas, tu lui es bien plus préférable. C'est ta peau que je voudrais retrouver maintenant que tu es partit, pas la sienne.
Pourtant, il était là.
Je regrette ton départ car même s'il s'insinuait entre-nous, je pense que c'est toi qui aurait pu le chasser sans même le savoir. Je pense que c'est toi dont j'ai besoin pour changer.
mercredi 16 février 2011
samedi 12 février 2011
lundi 7 février 2011
Some Chords
Je ne fais plus de photos.
C & P sont mes deux plus grandes aides dans cette histoire, merci à vous deux.
J'en assez de parler de toi. Assez d'être triste à cause de toi.
Ce mois-ci ça aurait du faire 2 ans mais à la place ça fera 4 mois, que nous sommes séparés.
Déjà 4 mois c'est très peu et en même temps c'est énorme. Combien m'en faudra-t-il encore ?
J'ai peur, j'ai très peur de te revoir, un jour.
C & P sont mes deux plus grandes aides dans cette histoire, merci à vous deux.
dimanche 6 février 2011
samedi 5 février 2011
jeudi 27 janvier 2011
J'ai bien envie de pleurer dans des bras mais je sais que j'en suis incapable.
Je n'ai jamais réussi qu'à pleurer seule.
L'écriture sont les seules larmes que je partage.
C. prends-moi dans tes bras. Je t'aime bien tu sais.
Et toi D., vient donc rendre mon quotidien génial que je fasse de même pour toi.
P, ma chérie, je t'aime.
Je n'ai jamais réussi qu'à pleurer seule.
L'écriture sont les seules larmes que je partage.
C. prends-moi dans tes bras. Je t'aime bien tu sais.
Et toi D., vient donc rendre mon quotidien génial que je fasse de même pour toi.
P, ma chérie, je t'aime.
dimanche 23 janvier 2011
Patti Smith & Philip Glass
La voix de Patti Smith est un tombeau. Et nous sommes dans ce tombeau.
Chaque vibrations de sa voix crée un fil invisible qui vient se relier à un fil de notre corps.
Nous sommes attachés et emmêlé à notre siège par l'émotion.
Parfois rien que son ton m'émouvait sur les notes du piano de Philip Glass.
Chaque vibrations de sa voix crée un fil invisible qui vient se relier à un fil de notre corps.
Nous sommes attachés et emmêlé à notre siège par l'émotion.
Parfois rien que son ton m'émouvait sur les notes du piano de Philip Glass.
lundi 17 janvier 2011
jeudi 13 janvier 2011
lundi 10 janvier 2011
J'ai revu C.
Je ne peux pas faire souffrir R. sans culpabilité.
J'ai effacé N. et ça me fait moins mal depuis que je ne peux plus continuer à l'observer, les mains devant le visage, les doigts entre-ouvert, comme devant un film d'horreur.
C'était d'ailleurs horrible l'effet que cela m'a fait, ces tremblements, ces larmes immédiates, oh oui, mieux vaut fermer les doigts et ne plus rien voir.
Je ne peux pas faire souffrir R. sans culpabilité.
J'ai effacé N. et ça me fait moins mal depuis que je ne peux plus continuer à l'observer, les mains devant le visage, les doigts entre-ouvert, comme devant un film d'horreur.
C'était d'ailleurs horrible l'effet que cela m'a fait, ces tremblements, ces larmes immédiates, oh oui, mieux vaut fermer les doigts et ne plus rien voir.
jeudi 6 janvier 2011
Inscription à :
Articles (Atom)