mardi 2 décembre 2008

Nymphette.

Ah mais quelles sont belles ces filles des champs, filles du printemps.
Je les ais découverte en ce glacial décembre qui sentait si peu l'hiver.
Et ma tête qui tournait, et mon ventre qui implorait et mes yeux qui ne pouvaient plus voir.
Ah les filles de mai, filles de joie, petites Narcisse aux doux pétales, petites nymphette.
Qu'il était bon de vous dévorez.

2 commentaires:

Pauline a dit…

Je ne pleure plus mais j'ai toujours envie de laisser couler les larmes, même si elles ne désirent plus s'évader. J'ai écris sans trop parler d'elles mais plutôt d'un garçon dont j'essaie de comprendre l'énigme et qui s'installe délicatement dans mon âme. Je n'aime pas ça, et ça ne me rend même pas gaie, mais c'est ainsi.

J'ai aussi envie de déménager depuis quelques années mais bien entendu, ce n'est pas possible, mes parents n'ont aucune raison de le faire. Je fais tout depuis le début de cet été pour aller en internat dans un lycée à Paris l'an prochain, mais mes parents sont réticents, il me faut une moyenne excellente, et j'ai peur de suffoquer de manque de liberté. Donc, je reste ici, et je m'inscrirais certainement dans un établissement privé.

Je t'accueille les bras ouverts si tu souhaites venir t'installer ici.

Mon conseil de classe a eu lieu hier soir. J'ai 15,69 de moyenne, les félicitations. "Excellent trimestre. Excellent travail."

"Mais comment faire comprendre cela à sa mère sans qu'elle nous considère comme ridicule et capricieuse?". On a qu'a s'évader toutes les deux en secret. Histoire d'inquiéter tout le monde et de nous coller une étiquette sur le front "ado rebelle, crise d'ado". Mais bien sur, mais bien sur! Lorsque l'on est pas d'accord à cet âge là, c'est cette excuse que l'on nous donne. "Ça passera avec l'age." Et sinon?... Je veux quand même rayer mon village de la carte de ma vie. Et je me fous des autres.

Il n'y a plus d'eau chaude alors je vais me (re)congeler le coeur et me replonger dans "Fascination".

A demain?

Pauline

Pauline a dit…

Je ne pleure plus mais j'ai toujours envie de laisser couler les larmes, même si elles ne désirent plus s'évader. J'ai écris sans trop parler d'elles mais plutôt d'un garçon dont j'essaie de comprendre l'énigme et qui s'installe délicatement dans mon âme. Je n'aime pas ça, et ça ne me rend même pas gaie, mais c'est ainsi.

J'ai aussi envie de déménager depuis quelques années mais bien entendu, ce n'est pas possible, mes parents n'ont aucune raison de le faire. Je fais tout depuis le début de cet été pour aller en internat dans un lycée à Paris l'an prochain, mais mes parents sont réticents, il me faut une moyenne excellente, et j'ai peur de suffoquer de manque de liberté. Donc, je reste ici, et je m'inscrirais certainement dans un établissement privé.

Je t'accueille les bras ouverts si tu souhaites venir t'installer ici.

Mon conseil de classe a eu lieu hier soir. J'ai 15,69 de moyenne, les félicitations. "Excellent trimestre. Excellent travail."

"Mais comment faire comprendre cela à sa mère sans qu'elle nous considère comme ridicule et capricieuse?". On a qu'a s'évader toutes les deux en secret. Histoire d'inquiéter tout le monde et de nous coller une étiquette sur le front "ado rebelle, crise d'ado". Mais bien sur, mais bien sur! Lorsque l'on est pas d'accord à cet âge là, c'est cette excuse que l'on nous donne. "Ça passera avec l'age." Et sinon?... Je veux quand même rayer mon village de la carte de ma vie. Et je me fous des autres.

Il n'y a plus d'eau chaude alors je vais me (re)congeler le coeur et me replonger dans "Fascination".

A demain?

Pauline