Combien de fois vais-je devoir subir la petite mort pour qu'enfin cette histoire ne devienne plus que cendres qui s'échappent au vent ?
Je marche sur des charbons ardents.
J'admire ta cruauté, chaque moment que tu peux me voler tu me le prends.
Parfois je me demande si je ne fabule pas tellement tout ceci me semble gros, j'ai beau chercher mais j'en reviens toujours à la même conclusion : même si je n'ai peut-être pas tout compris du fond de ton âme,
les actes et les paroles sont là.
Et ton verbe comme tes actes sont indéfendables.
14 commentaires:
Tu mens.
Loin de là.
Tu mens. Et tu le sais très bien.
C'est cool.
Tu sais très bien qu'il n'est pas comme ça. Tu te fais passer pour une victime alors qu'au final, c'est toi qui l'a poussé à partir.
Et je doute que "des actes" ou "des paroles" suffisent à convaincre ceux qui le connaissent vraiment. C'est creux. C'est du vent. Tout ça ne veut rien dire.
Si tu veux l'oublier, pourquoi tu t'amuses tant à te plaindre et à te morfondre sur ce blog ? Tu n'as rien de mieux à faire que de lui jeter la pierre ? De vous deux, à "qui déteste l'autre", je trouverais évident que c'est toi qui le détestes.
Tu t'es montée la tête contre lui. Tu t'es montée toute seule contre lui. Toi aussi tu lui as menti à différentes reprises, peut-être aurait-il dû en faire un blog.
Je connais très bien Nicolas. Je te connais plutôt bien aussi. Et je sais que tu mens.
Expose donc tes faits, puisque tu as l'air si sûre de toi. Montre nous en quoi il est si "indéfendable".
Moi, pour l'aimer encore et l'apprécier à sa juste valeur, je sais que tu mens. Ce type a un cœur d'or et tu l'as saoulé à vouloir avoir une totale emprise.
Ce blog est une honte.
Tu connais une facette de lui, j'en connais une autre c'est tout.
Je n'ai pas de justification à donner, à personne.
- Elle ne parle plus à Nicolas et sa relation avec lui est vraiment terminée, donc je ne vois pas l'intérêt de mentir sur un blog.
- Si on ne peut plus se baser ni sur des actes ni sur des paroles tu vas m'expliquer comment on fait, parce que le "je le connais" c'est peut-être joli mais ça n'apporte pas grand chose.
- Il me semble qu'elle a le droit d'écrire ce qu'elle veut, si le détester (et elle a ses raisons, qui sont bien justifiées!) fait partie du processus de deuil ni toi ni personne ne peut lui dicter sa conduite (par ailleurs si ça te plait pas c'est pas moi qui t’empêcherais de partir ou encore mieux : de la fermer).
- Si tu la connaissais (et j'en doute) tu n'irais pas écrire ce genre de MERDE, parce que putain ça me révolte, sérieusement tu te prends pour qui? C'est toi qui est sorti avec Nicolas à ce moment-là?? Tu dis qu'elle invente, crois-moi les faits sont là, là seule chose qui ait changé c'est qu'avant elle se voilait la face. Parce que plus d'une fois j'ai dû lui répéter la frontière entre l'acceptable et l'inacceptable.
- Et t'étais où toi à ce moment là? Parce que pour lui demander d'expliciter les faits, tu peux le demander à Nicolas que tu connais si bien, non? Ce qui s'est passé elle le sait, elle écrit sur ce qu'elle ressent, sur le futur qu'elle prépare et pas le passé qu'elle rumine, voilà pourquoi elle ne va pas déblatérer des faits dans le vide, et voilà ce que tu n'as pas compris.
- Un coeur d'or? T'as avalé un clown?
Tes propos sont une honte. C'est écoeurant.
Mais quels faits ? Hein ? Ceux de baiser à Bordeaux avec d'autres garçons pour prouver son amour pendant un break ?
C'est un euphémisme que de dire que nos points de vue sont différents.
Quand aux actes et aux paroles, "j'attends toujours". Parce que des actes et des paroles contre toi je peux aussi en citer.
Et toi, là, Priscilla, que viens-tu faire ici ? Si tu voulais vraiment soutenir ton amie tu la réconforterais et elle n'aurait pas besoin d'écrire ce genre d'article pour essayer de se consoler.
"Processus de deuil", comme tu dis.
Au lieu de ça, tu lui donnes juste raison sur des choses que tu ignores. Tu es à peine concernée.
Je suis même presque mieux placée que Nicolas pour savoir ce qu'il ressentait à ce moment là. Il était toujours niais, à hésiter sans cesse... Lui aussi il a eu ses "amis" pour le faire choisir.
Je reprends la dernière phrase de Priscilla, qui vous sied tout autant à l'une qu'à l'autre (vous avez quand même des points communs, pour des amies) :
Tes propos sont une honte. C'est écoeurant.
Tu as bien raison de censurer la vérité.
Tu ne connais que mon nom, et moi je connais presque tout de toi et de Nicolas... Je vous ai suivis de très près, tous les deux.
Pourquoi ne pas rendre ce blog privé ? Ou le supprimer ?
Je ne pourrais plus venir t'ennuyer, comme ça...
... Penses-y, toi qui à un moment voulait tout supprimer "pour changer".
Les mensonges ne te mèneront à rien qu'à ta propre perte.
Hilda, arrête, s'il te plaît.
Ecoute sale conne, tu vas te barrer vite fait, je suis restée polie mais là sérieux va te faire foutre. Tu crois que je l'aide pas peut-être? As-tu vécu une rupture et une déception amoureuse? Si oui, tu saurais que le soutien ne suffit pas à oublier la personne aimée.
Je suis autant concernée que toi, c'est-à-dire pas du tout. Je suis là car tu es là aussi. Tu dis la connaître, si tu avais un peu de décence tu lui écrirais en privé.
Non mais tu veux qu'elle justifie ce qu'elle fait de son cul ou quoi? Léa couche avec qui elle veut!
Tu te prends pour Jésus ou bien? Ouhh, tu les as surveillés ; t'es pas sérieuse j'espère, tu veux faire peur/convaincre qui là? Sais-tu que derrière un acte il y a une pensée? Tu t'es renseignée sur ce Léa faisait, et tu viens le balancer ici, sans te poser de question. Non mais en fait tu as raison, la fautive est Léa, c'est une garce et elle a été trop cruelle.
Elle supprime ce qu'elle veut, et sérieusement tout ce que tu montres ici c'est le spectacle de ton ignorance et de ta connerie.
Je ne sais pas mais si tu vis à travers les autres en suivant leur histoire c'est que soit t'es psychopathe, soit ta vie est mortellement ennuyeuse. Enfin je sais pas, joue à des jeux vidéos, lis un bouquin, achète toi un chien ; fais quelque chose au lieu de nous faire chier.
Allez, bisous mon coeur.
Elle fait ce qu'elle veut, oui. Et elle seule est responsable de ses actes. C'est elle qui a provoqué la rupture. Et elle le sait. Elle se ment à elle-même et à son "entourage" qu'elle aime bien puisque, après tout, personne jusque là ne la contredisait sur sa névrose. C'est là qu'on se rend compte de ce que sont les amis...
Quant à la décence, je rends publiques des choses qui auraient du rester privées. Tout comme elle.
Vous vous trouvez sans doute bien malines, et au quotidien vous camouflez vos malaises en faisant semblant d'être intelligentes, si bien que vous même vous arrivez à vous en persuader. Au moins, ça vous rapproche, la peine de se créer des haines qui sans vous, n'existeraient pas.
Si tu n'es pas concernée, Priscilla, alors je t'ignorerai. Tu ne m'es d'aucune utilité. Quoique, tu fais joli entre mes messages, ça fait du bien de ne pas voir que des messages "Anonymes", même si on sait très bien de qui ils sont.
Alors, ça fait quoi de se sentir utile ?
Et Nicolas, tu n'as plus rien à faire sur ce blog. C'est toi qui devrait arrêter de regarder ça. Elle se lamente de choses qu'elle s'est elle-même inventées. Oublie ça.
Ah tu me suis moi aussi au quotidien?
Continue à nous expliquer qui nous sommes, tes analyses psychologiques sont époustouflantes.
Bon en fait là tu me gaves, t'es vraiment trop conne, même Nico te dit de la fermer mais tu continues à raconter de la merde.
Continue, tu distrairas peut-être Léa, et si tu crois que tu as, toi, une quelconque utilité ici, c'est que t'es encore plus con que j'pensais.
Je n'ai jamais dis que je n'avais pas provoqué la rupture.
J'ai effectivement rompu une première fois.
Mais je suis revenue le lendemain car je trouvais la situation insupportable et Nicolas qui ne m'avait pas couru après a accepté mon retour.
Mais rien ne changeait.
Alors je nous ais forcé à avoir une discussion et Nicolas m'a quitté et sur le moment je me suis sentie tellement soulagée. Je n'arrivais pas à le faire moi-même et il le faisait à ma place.
Je me sentais soulagée de ne plus avoir à essayer d'entretenir une relation qui n'allait pas de toute façon.
Cela ne veut pas dire que j'étais heureuse que ça se finisse ainsi. Bien au contraire.
Quand je dis "quitter" ça ne veut pas forcément dire "je te quitte", ça peut vouloir dire "tu es parti" mentalement loin de moi même si nous sommes toujours "officiellement" ensemble.
Ce n'est pas parce que tu nous as suivis de près que tu as le droit de te mettre entre Nicolas et moi.
Cette histoire ne concerne que nous deux et c'est bien pour ça que je n'ai pas tout écrit.
Je ne suis pas ici pour faire l'inventaire de ses qualités.
Je suis ici pour m'exprimer sur des choses qui me tourmentes.
Nicolas a beau eu me faire souffrir je lui reconnais néanmoins des choses dont je lui suis très reconnaissante et des qualités que je ne peux nier et que je suis prête à défendre contre ceux qui diront le contraire.
Mais je n'écris pas pour parler de ce qui est bien chez lui.
J'écris pour faire mon deuil de ce qui m'a blessé chez lui.
Et c'est pour ça que tu ne verras aucune gratitude envers ce qui était "bien".
En tout cas ce n'est pas grâce à tes commentaires que je vais pouvoir arrêter de parler de lui.
Mon blog est peut-être une honte mais je ne lui ai JAMAIS imposé la lecture et JAMAIS je ne suis allée lui parler pour le tourmenter depuis que nous avons coupé contact.
En venant ici vous venez chercher le bâton qui vous blesse mais je n'ai jamais manifesté l'envie de vous taper volontairement dessus en vous poussant à lire.
Quel rôle crois-tu jouer ?
Es-tu ma rédemptrice ?
Crois-tu franchement que tes paroles acerbes pourront me faire changer d'avis sur la situation ?
Crois-tu que ça changeras quelque chose tout court ?
Au contraire à me parler ainsi tu ne fais que me braquer d'autant plus.
Je suis prête à reconsidérer ma pensée à tout moment, je sais bien que je ne suis pas parfaite, que je n'ai pas été totalement parfaite pendant ma relation avec lui, qu'il y a forcément des choses que j'exagère pour ma "névrose" comme tu dis.
Néanmoins je ne peux pas être totalement dans la fabulation et des choses qui n'ont pas été écrites ont été dites en privé.
Tu sais bien que Nicolas est le premier à savoir que certaines choses de doivent pas être écrites.
Je n'ai jamais détesté Nicolas. Je n'écris pas pour lui faire de la peine, j'écris pour moi. Ce serait sur du papier tu ne serais jamais venue me voir.
Maintenant ça suffit, même Nicolas te demande d'arrêter.
Ta salive finiras bien par se tarir de toute façon.
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